Hormis la puberté, on peut également citer d'autres facteurs de risque comme :
- certaines caractéristiques de la personnalité, comme la faible estime de soi
- des traumatismes au cours de l'enfance comme les abus sexuels
Hormis la puberté, on peut également citer d'autres facteurs de risque comme :
- certaines caractéristiques de la personnalité, comme la faible estime de soi
- des traumatismes au cours de l'enfance comme les abus sexuels
• L'obésité androïde : la masse grasse est plutôt présente dans le haut du corps. Cette forme serait plus dangereuse pour la santé, entraînant plus facilement des problèmes d'hypertension, de diabète ou des troubles cardiovasculaires. C'est pourquoi certains médecins préfèrent à l'IMC la mesure du tour de taille, qui serait un meilleur révélateur des risques liés à l'obésité.
• L'obésité gynoïde : la masse grasse s'installe plutôt dans le bas du corps. Celle-ci aurait moins de répercussions sur la santé, entraînant principalement des problèmes articulaires ou des insuffisances veineuses. Elle est néanmoins plus difficile à vaincre que l'obésité androïde.
L'obésité est due à des facteurs génétiques et des conditions environnementales particulières (mauvaise alimentation, insuffisance d'activité).
Par exemple, les étapes de la vie de la femme telle que la puberté, les grossesses ou la ménopause, favorisent la prise de poids, à cause des hormones.
La génétique est aussi un facteur de l’obésité, le risque pour un enfant de devenir obèse est de 40 % si l'un des parents est obèse et de 80 % si les deux le sont.
L’exposition à des polluants particuliers comme le benzo(a)pyrène perturbe les fonctions des cellules graisseuses ; ils bloquent les graisses à l’intérieur de la cellule.